Benin/Protection Civile

Cette situation était l’un des aspects fondamentaux de la crise qui a secoué le pays tout entier dans les années 87 ; 88 ; et 1989 à l’époque révolutionnaire et militaire de Mathieu Kerekou. L’air de la démocratie a pu se consacrer au désengorgement de l’armée par la méthode du départ volontaire. Ceux qui gouvernaient ont du privatiser les sociétés à cause notamment de la mauvaise gestion des ressources humaines et financières. Ce qui n’arrangeait pas tout à fait l’économie nationale béninoise. Aujourd’hui ; il est absolument regrettable de constater que le Bénin fait marche arrière en recourant à nouveau à cette méthode de gestion calamiteuse au lieu de procéder à d’énormes investissements dans le secteur privé qui n’existait pratiquement pas. Le président Boni Yayi n’est absolument pas sur le chemin. Il est entrain de conduire progressivement tout le Bénin vers une nouvelle crise que serait comparable à celle des années 87 ; 89 et 1989. Ce que les rapports d’inspection de la FMI et la Banque Mondiale certifient clairement. Une hausse considérable de la masse salariale qui est aussi due au nombre de ministères ; 30 ministres pour un pays à faibles revenus comme le Bénin. Les revendications des agents permanents de l’Etat sont certes légitimes et méritent d’être prises en compte ; mais aussi les balades des ministres et du président Boni Yayi pèsent lourdes dans les dépenses budgétaires. Soulignons que le projet d’institutionnalisation du service militaire d’intérêt national à l’air de la démocratie a été rejeté par l’honorable député maître Adrien Houngbedji ; celui que l’on considère aujourd’hui comme étant le principal acteur d’une opposition politique face au régime Boni Yayi. Dans le contexte politique actuel ; le mouvement humaniste préconise à l’actuel gouvernement Boni Yayi et à tout le peuple béninois :

3-                 Instituer une Fédération Nationale de la Protection Civile (FNPC) d’un commun accord avec les acteurs sociaux que sont les sapeurs ; le génie militaire ; les autorités municipales en premier car la protection est exceptionnellement une œuvre municipale. Impliquer les institutions républicaines, dont en particulier l’assemblée nationale béninoise. Le gouvernement peut toutefois recourir aux compétences françaises ou à celles d’ailleurs en matière de protection civile. En nous inscrivant dans cette logique de développement de l’aspect humanitaire des force de sécurité en république du Bénin ; nous pourrions mieux pratiquer le service militaire d’intérêt national en recourant au secourisme, en procédant notamment par d’énorme investissements dans le secteur privé pour la favoriser la création des PME et PMI dans le domaine l’agriculture et autres.

Cette situation était l’un des aspects fondamentaux de la crise qui a secoué le pays tout entier dans les années 87 ; 88 ; et 1989 à l’époque révolutionnaire et militaire de Mathieu Kerekou. L’air de la démocratie a pu se consacrer au désengorgement de l’armée par la méthode du départ volontaire. Ceux qui gouvernaient ont du privatiser les sociétés à cause notamment de la mauvaise gestion des ressources humaines et financières. Ce qui n’arrangeait pas tout à fait l’économie nationale béninoise. Aujourd’hui ; il est absolument regrettable de constater que le Bénin fait marche arrière en recourant à nouveau à cette méthode de gestion calamiteuse au lieu de procéder à d’énormes investissements dans le secteur privé qui n’existait pratiquement pas. Le président Boni Yayi n’est absolument pas sur le chemin. Il est entrain de conduire progressivement tout le Bénin vers une nouvelle crise que serait comparable à celle des années 87 ; 89 et 1989. Ce que les rapports d’inspection de la FMI et la Banque Mondiale certifient clairement. Une hausse considérable de la masse salariale qui est aussi due au nombre de ministères ; 30 ministres pour un pays à faibles revenus comme le Bénin. Les revendications des agents permanents de l’Etat sont certes légitimes et méritent d’être prises en compte ; mais aussi les balades des ministres et du président Boni Yayi pèsent lourdes dans les dépenses budgétaires. Soulignons que le projet d’institutionnalisation du service militaire d’intérêt national à l’air de la démocratie a été rejeté par l’honorable député maître Adrien Houngbedji ; celui que l’on considère aujourd’hui comme étant le principal acteur d’une opposition politique face au régime Boni Yayi. Dans le contexte politique actuel ; le mouvement humaniste préconise à l’actuel gouvernement Boni Yayi et à tout le peuple béninois :

3-                 Instituer une Fédération Nationale de la Protection Civile (FNPC) d’un commun accord avec les acteurs sociaux que sont les sapeurs ; le génie militaire ; les autorités municipales en premier car la protection est exceptionnellement une œuvre municipale. Impliquer les institutions républicaines, dont en particulier l’assemblée nationale béninoise. Le gouvernement peut toutefois recourir aux compétences françaises ou à celles d’ailleurs en matière de protection civile. En nous inscrivant dans cette logique de développement de l’aspect humanitaire des force de sécurité en république du Bénin ; nous pourrions mieux pratiquer le service militaire d’intérêt national en recourant au secourisme, en procédant notamment par d’énorme investissements dans le secteur privé pour la favoriser la création des PME et PMI dans le domaine l’agriculture et autres.